NOX... bientôt la suite !

Plus que quelques semaines à patienter pour ENFIN retrouver Lucen, le héros très attachant de la nouvelle et captivante série dystopique d'Yves Grevet : NOX ! J'ai hâte, le premier tome m'a tellement enthousiasmée...

éditions Syros
Illustration (encore une fois superbe) de Raphaël Gauthey
A paraître le 4 avril 2013 !

Dans cette série digne héritière de Méto [+], Yves Grevet nous entraîne dans une société futuriste sévèrement hiérarchisée où les pauvres sont confinés dans la ville basse, la Nox, un monde obscur et étouffant en raison de la pollution qui y règne, quand les riches vivent en altitude, dans la ville haute, et respirent le grand air.

éditions Syros, octobre 2012
Feuilleter les premières pages du premier tome

En bas, les conditions de vie sont très difficiles. Pour survivre, les habitants sont contraints de pédaler sans cesse afin de produire eux-mêmes leur électricité, de rationner leur eau, de manger misérablement des ersatz de vivres, etc. L’espérance de vie y étant aussi très courte, la loi impose aux adolescents de se marier et d’avoir un enfant dès l’âge de dix-sept ans. Impossible pour eux de penser à un avenir meilleur en cherchant à s’élever dans la société : il leur faudra obligatoirement reprendre la profession de leur père. La milice veille au maintien de ces règles très strictes, réprimant dans la violence tout acte de contestation. Pourtant des groupuscules commencent à se former et à résister au nom de la liberté. C'est dans ce contexte de rébellion que l'on suit l'histoire de trois jeunes garçons et amis d'enfance : Gerges, Maurce et Lucen. Le premier s’apprête à rejoindre la milice, le deuxième un groupe de révolutionnaires. Soucieux de ne pas perdre celle qu’il aime, la rebelle Firmie, le troisième garçon, notre héros Lucen, va lui aussi devoir choisir son camp. Sa rencontre avec la jeune Ludmilla issue d’en haut, qui s’est introduite clandestinement dans la ville d’en bas pour rechercher sa nourrice disparue, va être déterminante... Un roman captivant qu’on lit en retenant son souffle !